ALLIANCE INTERNATIONALE Pour les Objectifs de Développement Durable™
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ALLIANCE INTERNATIONALE Pour les Objectifs de Développement Durable

L’AIODD s’est développée pour répondre à un besoin et une nécessité que nous ne pouvons plus ignorer, le Développement Durable.D’autre part, ses actions s’axent autour de la promotion des Objectifs de Développement Durable adoptés par les membres de l’ONU et figurant dans l’Agenda 2030.


A PROPOS DE NOUS


Création de AIODD : AIODM, dont le lancement a été annoncé en 2006 lors d’une conférence organisée au Palais Nations dans le cadre d’une conférence de Aide Fédération (photo), soutient depuis 2015 les 17 Objectifs de Développement Durable, après 7 ans d’engagement pour les Objectifs du Millénaire du Développement (OMD) impulsés par Kofi Annan. Nous avions eu à cette occasion les encouragements de Mr Perez de Celluar, ancien Secrétaire Général de l’ONU et de plusieurs leaders reconnus sur la scène internationale. Une des grandes réalisation de AIODM (notre nom avant les ODD) fut la création de Villages du Millénaire AIODM (photo à Mossou, Côte d’Ivoire). Notre Vision : Avoir un rôle de « facilitateur » pour contribuer modestement mais concrètement à améliorer le bien‐être des populations, protéger la planète et œuvrer pour une paix durable à travers la mise en œuvre des ODD Nos Buts : Créer et maintenir une dynamique constructive autour des ODD Analyser les politiques économiques, écologiques et sociales et prendre connaissance des progrès dans les différents pays Valoriser les qualités, les compétences, les potentialités et les forces de chacun Buts : Mobiliser les ressources de la population, dans certaines zones, ainsi que celles de leur milieu de vie pour leur prospérité et leur bien-être Promouvoir les 17 ODD et encourager une coordination et déclinaison pro-active pour plus de bien-être, prospérité et paix dans le monde




ACTUALITES


A LA UNE



  • FORTE IMPLICATION DES JEUNES POUR LES ODD, À TRAVERS LA CRÉATION D’UN CLUB ODD À FERKLA AU MAROC EU

    Le Club ODD Ferkla : Un Groupe Dynamique pour un Développement Durable au MarocLe Club ODD Ferkla est bien plus qu\'un simple groupe de jeunes, c\'est une initiative prometteuse créée par les jeunes, pour les jeunes et avec les jeunes de Tinejdad, située dans la région Drâa-Tafilalt au Grand Sud-Est du Maroc. Son objectif ambitieux est de promouvoir et sensibiliser tous les citoyens aux 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) fixés par l\'ONU dans le cadre de son agenda 2030. Ce club mixte, dynamique et pacifiste, est animé par une vision globale visant à faire connaître et préserver le patrimoine oasien unique en son genre, ainsi que la protection de la nature et de sa biodiversité.L\'initiative du Club ODD est née grâce à l\'engagement de l\'Association Oasis Ferkla pour l\'Environnement et le Patrimoine (AOFEP), sous la direction éclairée de son président, le Dr Kabiri Lahcen, et son équipe. Le soutien actif d\'Ahmed Chbab, Vice-président de l\'Alliance Internationale pour les Objectifs de Développement Durable (AIODD), chargé du Développement International, a été essentiel pour mobiliser et impliquer davantage de jeunes motivés et de forces vives en faveur du développement global du territoire oasien.La région du Maroc où le Club ODD opère, bien qu\'attrayante, fait face à des défis tels que l\'aridité, la vulnérabilité et les problèmes liés au réchauffement climatique. Conscients de l\'urgence d\'agir, les membres du club se sont fixés pour mission principale de rendre les jeunes autonomes et éco-responsables en les intégrant dans des projets novateurs, créatifs et porteurs d\'avenir à différentes échelles, allant du local à l\'international.Grâce à leur rôle actif en tant que vecteurs et acteurs du changement, les jeunes du Club ODD aspirent à être des facilitateurs de progrès pacifistes. Ils ont compris que l\'alliance de l\'expérience de l\'âge et de la force de la jeunesse ne peut qu\'apporter la sagesse nécessaire pour surmonter les défis à venir.Dans ces moments difficiles de crise sanitaire mondiale, le lien intergénérationnel prend une importance encore plus cruciale pour façonner un avenir meilleur. C\'est pourquoi le Club ODD Ferkla encourage l\'unité et la solidarité, favorisant toutes sortes d\'initiatives éco-citoyennes, de démocratie participative et d\'alternatives économiques, sociales et environnementales dans leur belle région.En effet, les démarches de transition écologique et d\'économie sociale et solidaire sont également au cœur des priorités du club, dans le but ultime de contribuer au bien commun et au bien-être de tous.En résumé, le Club ODD Ferkla incarne l\'espoir d\'une jeunesse engagée qui prend en main son avenir et travaille pour un Maroc durable, résilient et prospère. En œuvrant localement avec une vision globale, ces jeunes sont devenus de véritables acteurs du changement, inspirant ainsi leur communauté à faire de même pour un avenir meilleur pour tous.

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  • LE PLUS GRAND LEVIER POUR RÉDUIRE NOTRE IMPACT SUR LA TERRE EU

    « On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux » – Gandhi Tout le monde, ou presque, est conscient de l’importance d’agir pour l’environnement. En revanche, nous avons intérêt à répondre à la question du « comment » : où diriger nos efforts pour améliorer la situation?N’ayant pas la place pour détailler tout ce qui influe sur les ODD de l’environnement, nous avons cherché une des actions qui, à elle seule, pourrait avoir le plus d’impact.[1] Elle revient dans des milliers de rapports scientifiques. Plus de 200 experts ont récemment signé une lettre pour que cette mesure soit incluse dans les plans des états pour le développement durable et les ODDs.Comme le formule le Forum Economique Mondial, « il y a un moyen de faire une énorme différence pour la durabilité et d’améliorer nos chances de vivre des vies plus longues, plus saines : développer notre façon de manger pour y inclure des sources alternatives de protéines. Fondamentalement, manger moins de viande. »[2] Cela ne veut pas forcément dire ne plus manger de viande du tout, même si c’est mieux, mais réduire considérablement. Beaucoup ont déjà franchi le pas, avec joie !Pourquoi ? Comme l’élevage utilise la majorité des terres agricoles et que l’agriculture utilise la moitié des terres de la planète, il s’agit de notre principale façon d’interagir avec la nature. En effet, cela aurait un impact sur les sujets suivants… en premier lieu l’ODD 2.ODD 2 : Faim dans le mondePour produire 1kg de porc ou de poulet, il faut 6kg de protéines végétales[3]. A partir de là, tous les effets nocifs que l’on peut attribuer à la culture des plantes sont également imputables à l’élevage, comme la surutilisation des pesticides, les monocultures, la consommation d’eau… et entrent en concurrence directe avec l’alimentation humaine. C’est ce qui s’est passé en 1985, lorsqu’une famine fit rage en Ethiopie : le pays continua pourtant à exporter des céréales pour nourrir le bétail anglais, malgré le fait qu’un million de personnes mouraient de faim[4]. Il était plus rentable de vendre aux pays riches qui achetaient plus cher.Source: Mottet et al 2017, infographie ApalaAttention, il ne s’agit pas ici de remettre en cause l’élevage quand il permet de valoriser des terrains non cultivables, c’est le mode approprié pour les zones adaptées aux prairies et aux pâtures naturelles. De plus, ce sont surtout des petits éleveurs qui veulent nourrir leur famille – on est très loin d’un modèle intensif. L’IPBES estime d’ailleurs que près de 30% des exploitations mettent en œuvre des pratiques durables. Hélas, elles ne représentent que 9 % des terres agricoles.Notre image du secteur est pourtant basée là-dessus : les seuls animaux que nous voyons sur les publicités sont généralement des vaches qui se nourrissent tranquillement d’herbe dans les campagnes. Malheureusement, elles sont très minoritaires parmi les 60 milliards d’animaux qui finissent dans les abattoirs chaque année. En France, 83% des poulets de chair et 95 % des cochons viennent d’élevages intensifs. Si tous les animaux étaient dans les conditions des vaches qui pâturent, il y aurait moins de problèmes. Mais ce mode de vie ne s’étend pas du tout aux poules et aux cochons enfermées dans des cages surchargées, où ils ne verront jamais la lumière du jour. Environ 20% des cochons meurent avant l’abattoir tant les conditions d’élevage sont critiques. Pourtant, le jour du débat à l’Assemblée Nationale sur la condition animale, le gouvernement a retiré les amendements qui visaient à stopper l’élevage intensif[5].Conditions de vie des cochons dans un élevage intensif. Source: L214 Si la France produisait elle-même le soja qu’elle importe du Brésil, il lui faudrait une quantité de champs équivalente à 3 départements[6]. Inévitablement, le secteur a subi une intensification qui a des conséquences terribles sur les animaux et humains. Du côté des poules pondeuses, un tri est effectué à la naissance pour envoyer les poussins mâles à la broyeuse. Il est rare de trouver autre chose que de l’intensif dans la plupart des cantines ou restaurants.Cette situation ne profite pas non plus aux agriculteurs. Ils sont nombreux à souhaiter le bien de leurs bêtes et n’ont pas eu le choix dans cette façon de faire : en France, deux d’entre eux se suicident chaque jour, principalement les éleveurs. Ceux qui ont choisi la qualité s’en sortent mieux, notamment par le bio, ce qui nous amène à nouveau à la même réalité : s’en tenir aux capacités de production des pâturages naturels, choisir attentivement la provenance, et s’il y a un doute sur la provenance s’abstenir…

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